Cureety développe une plateforme logicielle de télésurveillance, conçue aux côtés de professionnels de santé et de patients experts, pour améliorer et fluidifier la prise en charge des patients atteints de cancer.

Première plateforme de télésurveillance dédiée à l’oncologie en France avec une quarantaine d’établissements utilisateurs et plus de 5000 patients suivis à date, Cureety suit l’évolution de santé des patients et alerte l’équipe médicale en cas de besoin.

La plateforme propose également aux patients du contenu et l’accès à des soins de support afin de leur permettre d’améliorer leur qualité de vie.

«La position de leader d’Enovacom nous assure une couverture de la majorité des établissements avec lesquels nous voulons travailler. Ils sont aussi réellement implantés au cœur du SI, et ont la plupart du temps déjà implémenté les connecteurs dont nous avons besoin », explique Nicolas Begindirecteur des opérations chez Cureety.

Pour les établissements, l’objectif est d’optimiser la prise en charge des patients, de gagner du temps, de prioriser leur action vers les patients les plus fragiles et de limiter les hospitalisations d’urgence.

Pour assurer son interopérabilité, standardiser ses échanges et faciliter son déploiement auprès des établissements, Cureety a fait le choix de s’appuyer sur Enovacom. Grâce à sa solution 100 % SaaS, Enovacom Health Platform (EHP), Cureety va adresser trois cas d’usage principaux :

    • fluidifier l’inclusion des patients dans Cureety directement depuis la GAM ;
    • récupérer les dates de rendez-vous ;
    • renvoyer les comptes-rendus et informations patients directement dans le DPI.
Nicolas Begin, Cureety, Cloud Saas Enovacom

« Enovacom facilite notre déploiement en réglant toutes les problématiques d’interopérabilité. La DSI est bien souvent surchargée et travailler avec des leaders de l’interopérabilité tels qu’Enovacom simplifie grandement ces travaux. Passer par l’EAI Enovacom, c’est à la fois rassurant pour eux et la garantie d’avoir à engager très peu de ressources, ils n’ont quasiment rien à faire. »